Heather Thomas

Née le 8 septembre 1957, mesure 1,66 m.

Heather hier

Heather aujourd'hui

Les plus jeunes d'entre nous se demandent : "Qui peut bien être cette jolie pépée plutôt bien conservée" (note de l'auteur : Non, TRES bien conservée). Tandis que les plus anciens ont le bas-ventre qui commence à fourmiller en repensant à leurs premiers émois pré-pubères devant l'écran télé des années 80.

1982 sur Antenne 2 pendant les fameux Dimanche Martin si ma mémoire est bonne.

He bien Heather était l'alibi charme d'une série ultra-populaire qui n'a toujours pas connu d'édition cassette, Dvd et encore mojns Blu Ray. Ce qui explique sa partielle chute aux oubliettes médiatiques.

J'ai nommé : "L'Homme qui tombe à pic".

Série mettant en vedette Lee Majors auparavant non moins célèbre "Homme qui valait 3 milliards" et mari de la ravissante et talentueuse Farrah Fawcett (autre icône sexy, mais des années 70 cette fois-ci).

Voici donc Heather telle qu'elle affolait les jeunes (et beaucoup moins jeunes) mâles de jadis :

Peu de téléspectateurs savent que sa partielle absence de la série était due à une cure de désintox à la coke voulue par Lee Majors pour sauver la demoiselle d'une dépendance gravissime.

He oui, le système a toujours abruti ses victimes pour mieux les essorer. Surtout quand elles sont jeunes, blondes et aux jambes interminables...

Jambes qu'elle faillit perdre dans un accident de la route et que seules une trentaine d'opération sauvèrent...

Une autre opération (du saint-esprit celle-ci) la sauva de la misère par l'entremise d'un mariage heureux en 1992 qui précéda de quelques années sa retraite définitive d'Hollywood et la naissance de sa fille unique en 2000, à l'âge de 43 ans.

Cet heureux évènement ne la rendra cependant pas plus prudente et notre belle n'hésitera pas en 2008 à affirmer que les évènements du 11 septembre 2001 étaient fomentés par le gouvernement américain pour s'accaparer le pétrôle du moyen-orient...

Bon, rien à dire, madame Thomas est tout ce qu'il y a de plus sensée, ma foi. Peut être son éloignement du système lui permit-il, à l'époque, de formuler une pensée partagée par beaucoup sans craindre de représailles professionnelles trop abruptes...

"Seul dans Berlin" de Hans Fallada - 1947

Faisons un petit résumé de l'historique de ce bouquin.

L'auteur est un allemand habitant Berlin auquel on remit, juste après guerre, le dossier de deux résistants exécutés en 43 (trop tard, spoiler...).

Cette histoire lui inspira immédiatement un roman qui parut très vite, en 1947 pour être précis, dans la zone occupée soviétique. Puis en 1948 en U.R.S.S.

Et seulement 20 ans plus tard chez nous. En effet, qui s'intéresserait a des résistants allemands ? Les seuls vrais résistants n'étaient-ils pas français, monsieur ?

He ben, on dirait bien que Nein !

Bon, consolons nous en apprenant que les anglo-saxons attendront 2009 pour s'intéresser à ce genre d'histoire (Ah oui, quand même).

L'oeuvre a été portée déjà 5 fois à l'écran. Une version récente (2016) réalisée par Vincent Pérez voit Emma Thompson (excusez du peu) interpréter Anna Quangel.

Mais tout ça, je vous conseille de vous y pencher APRES la lecture de ce livre.

Car rien ne peut remplacer la précision des sentiments, l'imprégnation profonde que procure un roman !

Et ce roman est bouleversant. Par sa simplicité d'abord. Pas de style ampoulé. Un verbe qui va droit à l'essentiel.

Par son humanité aussi. Pas de héros plus grand que nature içi. Juste des gens comme nous ou nos voisins avec cette médiocrité et ces ratés de la vie qui font notre particularité.

N'hésitez pas, pour les lecteurs attachés au physique, le bouquin est dipo en poche et en occaz'.

Pour ceux qui sont passés comme moi à la liseuse, vous trouverez le fichier un peu partout (en payant ou en gratuit).

Fut un temps où lire des comics Marvel était pratiquement considéré comme une preuve de retard mental ou au mieux d'immaturité patente.

Personnellement, jai toujours vu ça comme un simple divertissement pas plus ni moins abêtissant que le football ou tout autre loisir d'ailleurs.

Quoique, si. Le foot c'est quand même bien de la merdasse en dehors des coupes du monde, voir d'europe.

Bref, aujourd'hui mon plaisir coupable d'hier est devenu la vache à lait d'une industrie en mal de renouvellement qu'est le cinéma américain.

Mais entretemps, toute culpabilité s'est envolée aux yeux du public mainstream et suivre les aventures de super-héros enfin débarrassés de leur slip sur leurs collants n'est plus une affaire de garçonnets venant juste de lâcher leur biberon.

Toute la famille se colle devant l'écran géant chez UGC ou à la maison et admire un catalogue d'images toutes plus épiques les une que les autres mais évidemment, Disney oblige, sans grand suspense.

Bon, honnêtement, surnagent de bons petits métrages un peu moins tièdes comme la saga des Iron-Man, le premier Gardiens de la Galaxie et le très correct Black Panther qui ravissent le public mondial.

Là où les Star Wars divisent plus que jamais et sentent le cramé à plein nez.

N'est pas Georges Lucas qui veut.

Je ne parle pas du dernier Logan qui m'a passablement autant ému que fatigué...

Enfin, bon, vivement les prochains !!!

Préjugés sur la musique classique quand on est jeune. On la trouve chiante, pas assez rythmée. On en apprécie surtout ses compositions les plus grandiloquentes qui nous rappellent les plus grandes heures des bandes originales de films hollywoodiens.

Et surtout on croit que ça pue la naphtaline et la poussière accumulée depuis les morts de Mozart ou de Bach.

Souvent on oublie que jusqu'au début du 20 ème siècle de grands compositeurs ont créé des oeuvres si magistrales qu'à peu près tous les grands artistes Pop ou du cinéma s'en sont au minimum inspiré, voir les ont pillé.

Orgueil car certains des plus grands compositeurs tardifs sont français et ont même orné nos regrettés billets avant l'Euro.

C'est le cas de Claude Debussy qui s'étalait sur le billet de 20 francs et qui a disparu voici 100 ans cette année.

Dans la pièce qui suit, je ne peux m'empêcher d'évoquer d'antiques songes voyant Ulysse voguer sur les flots de cette méditerranée mystérieuse où de perverses et envoutantes sirènes naufrageaient les malheureux marins perdus.

A écouter la nuit avec un casque vissé sur les oreilles.

Fantastique.

My Morning Jacket est un groupe rock formé à Louisville, Kentucky, É.-U., en 1998. Le groupe est reconnu pour ses chansons aériennes, atmosphériques, avec des incursions plus folkou country parfois, et pour l'utilisation de reverb dans la voix du chanteur Jim James, une tendance qui s'est toutefois atténué sur le quatrième album, Z, lancé en octobre 2005. La voix de James, qui compose les chansons du groupe, a parfois été comparée à celle de Neil Young. 

Oh shit run, oh shit run
Oh shit run through the ghetto
They will hear you

Mornin' bell tolls at home
Rings loud back where I come from
Calls me back

Often times, oh I would hope and pray
She calls me back
Then faith came my way
Oh shit run, oh, oh

It's what appears to me, it's what appears to me
It's what appears to me, it's what appears to me
It's what appears to me, aah

Oh shit run, oh
It's what appears to me, it's what appears to me
It's what appears to me, it's what appears to me
It's what appears to me, aah