Non Harry n'est pas un facho!

En plus d'être la dernière légende d'hollywood, Clint est sûrement le plus grand réalisateur américain (pas que par la taille non non).

Parcours de réalisateur hors norme. Qui peut se targuer d'autant de chef d'oeuvres en si peu de temps? 

Impitoyable, Un monde parfait, Sur la route de madison, Mystic river, Billion dollar baby, Gran Torrino...

Histoire à suivre dans ses pages....

Le plus grand acteur de tous les temps dans un discours parfaitement moderne.

Gabin impérial. A l'époque c'était commun, aujourd'hui il nous manque plus que bien d'autres.

Une merveille.

Loin de Brice de Nice...

Non, bébé, c'est parkinson aurait pû répondre Michael J. Fox sur le tournage de "Fantômes contre fantômes".

Ce film tourné en Nouvelle-zélande par le désormais culte Peter jackson (la trilogie du Seigneur des Anneaux) en 1996, ressemble à une dernière tournée d'adieu au cinéma pour l'interprète du jeune Marty McFly qui décide de finir sa carrière en beauté.

Elle se terminera pour de bon sur l'extraordinaire sitcom (et pourtant méconnu en nos contrées) "Spin City", de 1996 à 2000.

Réunion de talents multiples, ce film lui aussi confidentiel est pourtant un jalon désormais indispensable dans le domaine des comédies fantastiques.

1981 _ Wolfen _ de Michael Wadleigh avec Albert Finney

Ne cherchez plus, voici le plus beau film de loups-garous du monde.

Prenant le contre-pied des bobines privilégiant le gore et les transformations impressionnantes, le réalisateur choisit de nous délivrer un film où la nature décide de se venger de l'homme blanc. Et de lui seul.

Attention spoiler : si vous souhaitez voir ce film, zappez la vidéo qui suit qui vous montre la fin divinement poétique du métrage qui inspira à Metallica son titre "Of Wolf And Man" du Black Album.

Cette scène montre le héros détruire une maquette de projet immobilier sensée remplacer le ghetto  désormais colonisé par les esprits de la nature en plein New-York.

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Quelques années avant la sortie du reboot du Dark Knight, avec Christian Bale dans le rôle titre, un court métrage amateur faisait le buzz sur internet.

Véritable incarnation absolue de tous les fantasmes du chevalier noir pour les lecteurs fidèles du comics créé par Bob Kane, "Batman Dead End" ne fut sans doute pas pour rien dans la décision des studios Warner de délester Joel Schumacher des rênes du destin de l'homme chauve-souris.

Pour ceux qui ne l'ont jamais vu, ce mini-film est rien de moins que le chef d'oeuvre définitif qui consacre le mythe de Gotham.