• Hé oui, notre grand philosophe national à égalité avec BHL, ce bon vieux Johnny avait tout compris sur la nature humaine.

    Effectivement, non, ça ne change pas un homme.

    La preuve, cet extrait instructif d'une comédie musicale de Broadway faisant un tabac après la merveilleuse et désormais célèbre crise de 1929...

    On constate quel est le centre d'intérêt de nos grandes nations quand leurs enfants meurent de faim dans la rue et que le plus meurtrier des conflits s'annonce.

     N'est à sauver de ce naufrage artistique que l'adorable Ginger Rogers qui nous démontre combien la langue doit être agile quand on veut percer à Hollywood.

     

     

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    A l'heure ou tout est dicté voir légiféré (non non n'ayez pas peur ce sujet restera léger) un des rares espace de liberté est ici même.

    MISSION TO MARS film de science fiction réalisé par Brian de Palma en 1999 à la croisée des chemins entre film à gros budget (tout les films estampillés "espace" depuis la fameuse saga 3+3 de Georges_Harrisson pas le Beatle mais le duo Réalisateur_Acteur Charismatique Principal (si si ça se dit) du premier 3 final (arf je  m'y perd moi même)) et de la série b psycho mystique.

    Film considéré (à tort) par une certaine critique comme le pire de la science fiction à jeu égal avec Highlander 2 (là faut le faire quand même) pour ses incohérences scientifiques et scénaristiques est pour ma part un petit joyau de la série b à énorme budget qui pourra se regarder 20 fois  sans en éprouver la moindre lassitude a l'instar de Mad Max ou New York 1997 qui ne seront jamais considérés comme des chefs d'oeuvre (à quoi bon) mais dont l'imagerie et l'ambiance les ont catapultés au rang de films cultes.

    Avec Gary Sinise avant les Experts "baba o'ryley" Manhattan, Tim Robbins avant son oscar pour le fabuleux Mystic River de Monsieur Clint Eastwood (le dernier des géants) et de la sublissime Connie Nielsen (madame Lars Ulrich  Qui ça????? INCULTES!!!).

    La scène que je vous propose est celle de la danse de Tim et Connie sur une musique de Van Halen (groupe ricain le plus explosif de la fin des 70'S et du début des 80'S) Dance The Night Away premier hit single du second opus sobrement intitulé Van Halen 2 (y'a que le titre qui est sobre avec eux) avec leur premier chanteur emblématique David Lee Roth.

    Beauté de la danse en apesanteur et d'une musique trépidante et vitalisante.

    J'entends déjà mon éminent collègue Digit s'écrier Arnaque (pas sur le fond mais sur la forme):

    "Mon petit gars tu est en train de nous filouter, (avec voix de stentor) au lieu de sortir un article cinéma et un autre musical tu n'en fait qu'un seul"

    A cela je dois bien l'avouer, je l'ai bien fait, non pas par manques de temps ou de volonté, mais je le suis je le sais, je suis un bluffeur né.

    Ma devise est: tant qu'a se faire arnaquer, autant que se soit bien fait, avec adresse et subtilité la pilule est plus facile a digérer.

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