Fervent et brillant hommage d'une star pour une de ses idoles.

 Le numéro d'ouverture du "The Robbie Williams Show", «Trouble» / «Handsome man», est identique dans son concept et dans la mise en scène à la séquence d'ouverture de "Elvis Presley '68 Comeback Special" (dont est issu la belle vidéo de mon ami Digit). Les seules différences sont le logo RW avec d'énormes flèches dans les feux rouges (qui remplace l'ELVIS) et les danseuses sur les micros cellules de détention en back-drop, au lieu de celles des hommes tenant des guitares. Les jeux de scène dans le spectacle sont également similaires à ceux utilisés par Elvis dans son concert à la télévision.

La balade "Advertising Space", co-écrite avec Stephen Duffy est un hommage à Elvis Presley, hommage que Robbie présente pour plaisanter comme sa version de Candle in the Wind (en référence à la chanson d'Elton John dédiée à Marilyn Monroe puis à Lady Di). Dans le clip, Robbie incarne un sosie d'Elvis obnubilé par son idole.

There's no earthly way of knowing
What was in your heart
When it stopped going
The whole world shook
A storm was blowing through you

Waiting for God to stop this
And up to your neck in darkness
Everyone around you was corrupted
Saying somethin'

There's no dignity in death
To sell the world your last breath
They're still fighting over
Everything you left over

I saw you standing at the gates
When Marlon Brando passed away
You had that look upon your face
Advertising space

And
No one learned from your mistakes
We let our profit s go to waste
All that's left in any case
Is Advertising space

Through your eyes
The world was burning
Please be gentle
I'm still learning
You seemed to say
As you kept turning up

They poisoned you with compromise
At what point did you realise
Everybody loves your life
But you ahahh

Special agent for the man
Through watergate and vietnam
No one really gave a damn
Did you think the CIA did

I saw you standing at the gates
When Marlon Brando passed away
You had that look upon your face
Advertising space

And
No one learned from your mistake
We let our profits go to waste
All that's left in any case
Is Advertising space ooooohh

I saw you standing at the gates
When Marlon Brando passed away
You had that look upon your face
Advertising space

No one learned from your mistakes
We let our profits go to waste
All that's left in any case
Is Advertising space

I've seen your daughter
Man shes cute
I was scared but I wanted to
Boy she looks a lot like you

1968 _ Trouble & Guitar Man _ Elvis Presley

Après une salve de trésors chantés par des divas incontestées, changeons d'atmosphère avec le sublimissime Elvis qui, après quelques années de flottement, cloua la concurrence par un fracassant retour sur scène, télévisé pour l'occasion.

Bon dieu, si j'avais été une fille ces années là , je crois que j'aurais été une groupie très entreprenante...

Tout bonnement incroyable le charisme de ce type aux origines indiennes et françaises (entre autre) qui représenta pourtant la quintessence du rêve américain.

1960 _ I'm sorry _ Brenda Lee

Classique parmi les classiques, ce titre  sans qui aucune compil rockabilly ne serait aboutie, "I'm Sorry" est donc chanté à l'époque par une gamine de 16 ans qu'on surnomme déjà "Little Miss Dynamite" et qui se lie très vite d'amitié avec le King en personne (voir titre du post) et ce jusqu'à la mort en 1977 de celui-ci.

Alors que beaucoup de personnalités de cette époque glorieuse, qu'est l'avènement du rock, sont aujourd'hui disparus, madame Lee coule aujourd'hui une retraite paisible après avoir sorti son dernier album studio en 1991.

1961 _ September in the rain

Dinah Washington (29 août 1924 - 14 décembre 1963)

Une perle en cotoie souvent bien d'autres. Pourtant il est de notoriété publique que leur beauté est unique.

Que dire de mademoiselle Dinah Washington, qui reste une des plus attachantes des chanteuses américaines, sinon que sa classe naturelle devrait être une plus belle source d'inspiration qu'elle ne l'est pour toutes ses descendantes R'n'B actuelles.

Voici donc la "Queen of Blues" :

Puisqu'on est à évoquer les femmes de talent, prenons quelques minutes supplémentaires de plaisir avec l'immense, la fabuleuse, l'incomparable Ella Fitzgerald.

Sans doute possible, la plus grande chanteuse noire américaine (donc mondiale si on ne parle pas de notre Edith nationale).