• Non, pas d'extrait d'un film olé olé mais une performance d'un groupe que j'affectionne particulièrement ces jours-ci : Pentatonix.

    Aucun autre instrument que la voix humaine. Splendide.

    Alors les enfants, allez pas pigner que vous avez pas les ronds pour vous payer une Gibson.

    Sortez-vous les doigts et laissez sortir le pinson qui couve en vous !

     

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  • Au contraire du cinéma (où bien souvent les remakes ne se hissent que rarement au niveau de l'original), en musique, les covers surpassent parfois avec bonheur leur modèle.

    Exemple avec la reprise supratonique du légendaire "Creep" de Radiohead par Brian Justin Crum publié plus tôt.

    Aujourd'hui, je vous propose une cover d'un non-tube de Katy Perry.

    Et là, la magie des choeurs made in "Queen" sont convoqués pour donner une merveille de délicatesse et de puissance rarement égalés, si ce n'est sur quelques albums de Heavy-métal dont les artistes qui suivent nous évitent l'écueil du ridicule.

    La classe.

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  • Drôle de titre pour un article après tant d'absence de ce blog.

    Mais tout s'explique. L'absence d'abord.

    Je crois que j'ai passé un cap, on appelle aussi ça la quarantaine, où j'ai plus besoin de ressentir que de commenter.

    Une sorte d'urgence à vivre des choses et de moins en moins à se poser de questions ou argumenter sur ce qu'on aime ou on déteste.

    Je sais, c'est moche.

    Ce recul, pour mieux sauter, fait perdre à l'humanité toute entière tellement de matière à réflexion...

    Pour la bizarrerie du titre de l'article, c'est un peu plus tarabiscoté.

    Ces dernières années, mes découvertes musicales sont le fruit le plus souvent d'un hasard relatif.

    J'aime à m'allonger sur le ventre de Baloo et à me laisser dériver au gré du courant virtuel du fleuve Google ou de son affluent You Tube.

    Certains de mes amis, cependant,  argueront que depuis quelques années j'ai moins le profil de Mowgli que de celui d'un ours (même très bien lêché, merci ma femme. Je t'aime).

    Oui, j'ai des amis qui aiment bien me chier dans les bottes. Vous aussi j'imagine !

    Donc, au gré de mes errements, disais-je, je vois défiler de plus ou moins beaux paysages, j'entends chanter des merles plus ou moins doués parfois.

    Mais jamais je n'avais accosté sur un îlot aussi accueillant qu'hier soir.

    Alors, bien sûr, il était très tard dans la nuit et mes émotions étaient du coup bien plus affûtées.

    Bien sûr, je suis également un indécrottable romantique qui vibre le plus souvent sur des voix féminines. Mais pas là.

    Hier soir, je suis tombé sur un extrait de 2016 de "America's got talent".

    Ma femme a dû le lendemain appeler ma maman pour lui demander si elle n'avait pas quelque part dans son bureau, perdu dans quelques chemise jaunie par tant de révolution solaires depuis ma naissance, une notice.

    Ma notice.

    Pour me remonter.

    Car en écoutant Brian Justin Crum cette nuit, j'ai tout simplement volé en éclat. Comme le ferait un des personnages grandeur nature construit en lego que vous trouvez à l'entrée des chaînes de magasin de jouets.

    Et qu'une horde de chenapans aurait détruit à coup de battes de base-ball.

    Enfin, c'est une image pour dire que mes boyaux ont joué la farandole et que j'ai juste chialé.

    Sept fois de suite !

    Je me suis repassé la vidéo, inlassablement.

    Je l'ai fais écouter à toute ma famille depuis.

    Et même en leur présence, il m'a parfois été presque impossible de tenir les vannes fermées.

    Hier soir, j'ai fais plus que de regarder une vidéo sympa où un jeune désoeuvré tente sa chance au risque d'être humilié ou oublié d'une foule souvent ingrate.

    C'est pas ça, non. J'ai fais une rencontre.

    J'ai tout compris de ce type en l'écoutant. Un canal s'est ouvert et j'ai su qui il était. J'ai été ému comme rarement dans ma vie par un artiste.

    Forcément, après, j'ai voulu en savoir plus. Je ne voulais pas rompre l'approvisionnement de cette énergie folle, de cet espoir, de cette tolérance qu'avait éveillé en moi la voix de Brian.

    Mes lectures m'ont confirmé tout ce que j'avais ressenti.

    Le petit Crum avait été un gamin en surpoids, homosexuel rejeté et harcelé par ses camarades. Dont le lien le plus fort avec ce que l'humanité avait de bon tenait à l'amour qu'il avait pour la musique et à l'amour que sa mère lui avait elle-même prodigué.

    Un chanceux, quoi. Tant ont encore moins que ça...

    Bon, après tout ça, j'espère que vous avez un tant soit peu envie d'enfin écouter le phénomène. Et que mes petits paragraphes vous auront au minimum un tout petit peu détendu les chakras.

    Ben oui, je m'en voudrai que vous passiez à côté des émotions que j'ai vécu.

    Enfin je termine la rédaction de cet article, je vais pouvoir ré-écouter ce monument pop-rock transcendé par l'interprétation d'un petit génie.

    Grosso modo, si vous voulez aller à l'essentiel, commencez le visionnage à 3 mn.

     

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  • Encore une nouvelle rubrique.

    Oui, je sais on n'arrête plus ma créativité débordante.

    Bon, ça change, après 5 jours de gastro familiale en plein mois de juillet...

    Tous les jeux de mots les plus scatos sont possibles avec le verbe "déborder", et je vous laisse vous en donner à "haut-le-coeur-joie".

    Pour ce qui nous concerne içi, puisque je parlais de gastro, et si j'occulte mon côté habituellement si gentleman, je dirais que la chanteuse que vous allez écouter aurait bien besoin d'en attraper une bien corsée histoire d'évacuer les quelques kilos superflus accumulés depuis 1977...

    Mais évidemment je m'abstiendrais d'une telle ignominie étant donné le beau linge (souillé sarcastic) en compagnie duquel nous allons écouter ce désormais standard intemporel du rock galactique qu'est "Stairway To Heaven".

    Sauf qu'içi, Robert Plant nous démontre qu'il sait aussi admirablement pleurnicher que chanter.

    Bon, je déconne, mais c'est émouvant quand même de voir ce solide gaillard ayant tout vu, tout vécu, tout conquis, s'épancher sur l'interprétation sympathique de revenantes du rock s'évertuant à rendre hommage au vrai dieu doré du rock'n'roll...

     

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