Oui, encore une nouvelle rubrique...

Pfu, cherchez pas, je sais pas ce que j'ai en ce moment, c'est peut être un excédent de vitamine D, le manque de sexe, allez savoir...

Comment ça je suis en couple ?

Ben justement !

Ahhh y sont marrants ces petits jeunes, croient tout savoir. Z'allez moins rigoler dans quelques années, tiens.

Vous verrez quand faudra torcher les mômes, les déposer à l'école ou chez la nounou, aller taffer, faire le ménage, la cuisine, tondre la pelouse, penser à payer toutes les factures (et y'en plus que j'imaginais), faire les courses, bricoler dans la baraque (sinon au bout de 5 ans, c'est plus qu'un tas de cendres), ramasser les merdes des chiens ou des chats (surtout les chats, ces enfants de cthulhu, qui prennent bien soin de déposer leur crotte démoniaque à cheval sur le bord de la caisse de la litière sans la recouvrir juste au moment où vous rentrez exténués d'une journée de boulot avec les gamins sous le bras qui pleurent eux-aussi épuisés de la connerie de leurs contemporains).

Alors les galipettes, hein, ça attendra que tout ce beau petit monde aille rejoindre l'université ou un beau petit trou au fond du jardin.

En même temps, il en faudra de la motivation pour érotiser ces viles chairs devenues flasques (quand est-ce qu'on fait du sport, sans déc' ?).

Alors, voilà, je fais comme tout le monde, histoire de déstresser, je collectionne.

Et dans la vidéo qui suit, j'ai bien l'impression que certains d'entre nous n'ont jamais eu et n'aurons "au grand jamais" de vie sexuelle...

C'est indécent ces mecs qui étalent leur fric sans vergogne.

P'tites bites, va !!!

Naaan, j'déconne. De toute façon, les banques ou les bijouteries, c'est surfait. Quelqu'un veux faire le casse du siècle, il file récupérer le numéro IP d'un collectionneur Hot Toys pour rafler le pactole et il investit direct dans l'immobilier.

Attend, rectification, l'immobilier ça se casse la gueule.

Les poupées Hot Toys, c'est 200 boules minimum en pre-order et 600 au bout d'un an...

L'immobilier, lui fait rarement 300 % de bénéf en un an.

Vous m'avez compris ?

Le plastique c'est désormais plus rentable que la pierre, pensez-y !

Encore une nouvelle rubrique.

Oui, je sais on n'arrête plus ma créativité débordante.

Bon, ça change, après 5 jours de gastro familiale en plein mois de juillet...

Tous les jeux de mots les plus scatos sont possibles avec le verbe "déborder", et je vous laisse vous en donner à "haut-le-coeur-joie".

Pour ce qui nous concerne içi, puisque je parlais de gastro, et si j'occulte mon côté habituellement si gentleman, je dirais que la chanteuse que vous allez écouter aurait bien besoin d'en attraper une bien corsée histoire d'évacuer les quelques kilos superflus accumulés depuis 1977...

Mais évidemment je m'abstiendrais d'une telle ignominie étant donné le beau linge (souillé ) en compagnie duquel nous allons écouter ce désormais standard intemporel du rock galactique qu'est "Stairway To Heaven".

Sauf qu'içi, Robert Plant nous démontre qu'il sait aussi admirablement pleurnicher que chanter.

Bon, je déconne, mais c'est émouvant quand même de voir ce solide gaillard ayant tout vu, tout vécu, tout conquis, s'épancher sur l'interprétation sympathique de revenantes du rock s'évertuant à rendre hommage au vrai dieu doré du rock'n'roll...

Le genre de trucs plutôt craignos et mal foutus qui me font quand même bien marrer avec mes gosses.

Dans la vidéo numéro 2, le Vador est vraiment trop mini. Mais ça a l'air d'impressionner quand même les badauds...

Nouvelle rubrique toute neuve pour agrémenter la déjà longue liste de chefs-d'oeuvres publiée sur ce blog.

Une sorte de coup d'oeil dans le rétro de la zik, en somme.

Ce soir, vous êtes en veine, j'ai décidé de vous présenter un super tube rock tendance "Rush pop US" chanté par une bellissima Ann Wilson, qui, flanquée de sa blondinette de soeur à la guitare réussit à écouler 3 millions d'exemplaires de son premier album dont est tirée le single de ce  soir.

Heart - Barracuda - 1977

Après un roboratif article qui a juste effleuré le vaste sujet de la matrice hier soir, je me suis dis que c'était pas parce que le monde tournait à l'envers et que j'en avais gros sur la patate que je devais vous soûler AdVitam (oui, encore du latin, c'est ma marotte).

Donc, la décision fut rapidement prise d'ajouter un nouveau numéro à une de mes rubriques favorites. Oui, favorite à moi.

Parce que vous avez beau passer régulièrement sur le blog à tontons Strap et Digit, vous laissez rarement des commentaires (à part sur les articles "cul", comme quoi).

Donc, du cul je vais vous en servir, et un bien rond, bien joufflu, celui de l'adorable Joan Blondell (née le 30 août 1906 et décédée le jour de noël de 1979, St-Pierre a dû bander comme un taureau...)

Qui ça ?

Oui, j'avoue, j'ai pas choisi la plus célèbre des actrices hollywoodienne.

En tous cas elle a été une vraie star de la A-list en son temps aux states (à la louche plutôt les années 30) et reste relativement populaire aujourd'hui.

Autant que ce soit possible avec un peuple à moitié prêt à élire un Donald Trump dont la culture et la finesse en font un bon représentant de ses électeurs.

Mais moi des ricains, je ne m'intéresse qu'à la crème. Et Joan, indubitablement, en était une.

Ceci dit, pour les plus cinéphiles d'entre nous, Joan n'était pas totalement inconnue et vous avez même pu brièvement l'apercevoir dans "Grease" où elle jouait une serveuse sur le retour.

Oui, là, comme ça, l'article ne part pas sur les chapeaux de roue de la sexytude la plus endiablée.

Arrangeons ça...

De grands yeux de biche, une bouche ourlée en coeur, un nez aquilin, des boucles dorées. Un vrai petit ange coquin et aguicheur.

Et ce jeu de gambettes, messieurs-dames, comment éviter le tsunami dans le vilbrequin avec ça ?

Bon, là, jouons carte sur table, la jeunette Bette Davis est pas loin de lui voler la vedette.

A moins que ce soit le maillot qui fasse ça...

Oui, mesdames vous pouvez être sexy sans fil dans les fesses ou n'importe quel string, qu'il soit brésilien ou afghan...

Non mais quelle bouille, quel sourire !

Bon, arrêtons là. Trop de bonheur d'un seul coup, c'est insoutenable.

OK, allez, pour la bonne bouche alors.