•  Si le remake diffusé dernièrement par TF1 joue beaucoup sur le tableau du parfait petit complotiste à la sauce illuminati et lézards extra-terrestres (si, si, ce genre de théories fait un véritable tabac outre-atlantique depuis la création de Kenneth Johnson en 1983, voir aussi les "travaux" de Davd Icke), la série originale donc, mettait le focus plus particulièrement sur l'hommage appuyé à la résistance française et aux victimes.

    Un scénario certes accomodé à la sauce S-F mais qui aurait pû être tout aussi bien transposé pendant la seconde guerre mondiale sans trahir le matériau de base.

    Rarement série aura autant fédéré de fans à travers le monde. Exception faîte de Star trek qui elle, aura fourni à sa horde d'admirateurs de nombreus spin-off à se mettre sous la dent au fil des décennies.

    Pour V, il fallut pratiquement 30 ans pour mettre fin à une attente insupportable.

    Certes, la société a depuis énormément changé, les rapports sociaux et humains ont muté de manière imprévisible. D'où une réorientation assez profonde de la trame générale de la série qui n'a pas plu à tous les fans de la première heure.

    Mais revenons à nos moutons, en l'occurence Mike Donovan, Ham Tyler, Julie Parrish, Elias, Willy, Diana et tous leurs amis.

    Outre le réalisme inédit d'un tel projet ancré dans notre quotidien et les méthodes des visiteurs rappelant le nazisme qui faisaient donc encore écho à beaucoup d'entre nous (pour ceux qui avaient discuté peu ou prou avec leurs grands-parents), le casting, le ton, les génériques et les effets spéciaux restent de vraies réussites inoubliables.

    Diana (interprétée par Jane badler) demeure également un des "méchants" les plus mémorables de la télévison avec J.R.

    Le charme en plus.

     

     

     

     

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  • 1986 _ Antenne 2 _ Le Voyageur

    Pour ceux qui regardaient la télévision les samedis soir de l'été 1986, et qui étaient assez grands pour que leurs parents les laissent regarder en solo la télé jusqu'à pas d'heure, le programme ne se cantonnait pas à Intervilles.

    Régulièrement, les yeux se posaient sur l'horloge du salon pour guetter l'horaire certes tardif mais ô combien attendu d'une série atypique faisant le bonheur des ados ésseulés.

    Pour ceux qui n'avaient pas la chance de disposer d'un abonnement à Canal +, une série mettant en scène un SDF bô gosse se promenant en solitaire et en stop à travers les états unis d'amérique servait de dérivatif presque acceptable.

    Chaque épisode comportait une histoire à twist final moraliste ponctué dans son dernier tiers par une scène gentiment érotique qui concluait un épisode régulièrement moite et chargé de tension aussi bien sensuelle que "policière".

    Rien qu'à l'écoute du générique, toute l'attention se focalisait presque entièrement sur le téléviseur tandis qu'une oreille traînait toujours pour surveiller l'éventuel "descente" innoportune d'un parent égaré qui n'aurait pas manqué de se demander pourquoi la télécommande du salon semblait aussi rose dans le noir (et surtout dans la main de son fiston)...

     

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  •  Anges de choc, série télé allemande est une adaptation musclée de la célebre série des années 70 "Drôle de dames".

     Cascades et explosions en tous genres on est ici bien loin d'un épisode de Derrick.

     Le trio d'actrices: une blonde, une brune, une rousse est tout bonnement (c'est le mot) époustouflant. 

     

    Anges de choc

    Anges de choc

    Anges de choc

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  • Comment faire plus d'actualité que cette chanson de Eiffel ?

    Au moment ou le nord de l’Afrique s'embrase dans un élan de liberté tant espéré et jusque la que rêvé.

    Au moment ou toute une génération (nippone en tête) se réveil du cauchemars nucléaire.

    Au moment ou la démocratie remplace la dictature en afrique de l'ouest .

    Il serait temps qu'en occident on se rappel qu' A TOUT MOMENT LA RUE PEUT AUSSI DIRE NON!

    A chacun de nos souffles 
    Au moindre murmure des bas fonds 
    C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle 
    Que d'un pavé de fortune 
    Contre le tintamarre du pognon 
    A Tout Moment La Rue peut aussi dire non (x2) 

    C'est un pincement de lèvres 
    Et la peur qui perle d'un front 
    La faune et la flore à cran en haillons 
    Et l'éclat de nos palpitants 
    Dans l'ombre du marteau pilon 
    A Tout Moment La Rue peut aussi dire non (x2) 

    Non comme un oui 
    Aux arbres chevelus 
    A tout ce qui nous lie 
    Quand la nuit remue 
    Aux astres et aux déesses 
    Qui peuplent nos rêves 
    Et quand le peuple crève... 
    A Tout Moment La Rue peut aussi dire... 

    Et si quelques points noirs en cols blancs 
    Poivrent nos yeux 
    D'ondes occultes en tubes longs et creux 
    A bien compter le monde 
    Être x fois plus nombreux 
    Que ces 300 familles qui sur la rue ont pignon 
    A tout moment elle peut aussi dire non... 

    Comme un oui 
    Aux arbres chevelus 
    A tout ce qui nous lie 
    Quand la nuit remue 
    Aux astres et aux déesses 
    Qui peuplent nos rêves 
    Et quand le peuple rêve il aime... 
    Disposer de lui-même (x2) 

    Non 

    Non comme un oui 
    Aux arbres chevelus 
    A toutes ces nuits qui nous lient 
    Et même si elles ont trop bu 
    C'est aux astres et aux déesses 
    Qui peuplent nos rêves 
    Et quand le peuple crève... 
    A Tout Moment La Rue peut aussi dire... 

    A chacun de nos souffles 
    Au moindre murmure des bas fonds 
    C'est dans l'air comme un chant qui s'étrangle 
    Que d'un pavé de fortune 
    Contre le tintamarre du pognon 
    A Tout Moment La Rue peut aussi dire non (x10

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  •  Pour beaucoup Blur est le groupe concurrent de Oasis dans les charts et les tabloïds anglais pendant les 90'S. Cette gué-guerre surtout initiée et instrumentalisée par une presse musicale se rapprochant plus du people que de l'intérêt artistique stricto sensu.

     Fer de lance de la brit pop, Blur, emmené par une hydre à deux têtes Damon Albarn et Graham Coxon développe une musique pop rock fortement influencé par The Kinks et David Bowie (belles références n'est ce pas?).

     Outre cette pop typiquement anglaise, Blur explora (dans ses derniers albums) avec beaucoup de succès et de grâce des genres totalement différents comme un rock fiévreux à la limite du punk ou une ballade expérimental accompagnée d'un orchestre oriental.

     

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