• Succès planétaire dû à un twist novateur, "La Planète des Singes" est déjà un pamphlet écologique bien avant que cécile Duflot ne nomme sa petite fille "térébentine"...

    Et oui, c'est toujours la faute de ce pauvre Homo-Sapiens si ça foire sur cette bonne vieille boule bleue.

    Rassurons-nous, la terre en a vu d'autres des catastrophes cosmiques.

    Par contre, on a rarement vu de série aussi excitante que celle qu'on tira du film dominé (encore lui décidément) par Charlton Heston, le père spirituel du Governator.

     

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  • Globalement, l'adolescence est une période toute pourrite !

    Platon évoquait déjà la connerie galopante des citoyens grecs qui avaient l'âge de rester scothé derrière leur PS3 bien avant que nous-mêmes, anciens ados vieillissants, devions nous rendre à l'évidence. Vieillir c'est cool.

    Pourtant, l'adolescence est souvent associé à la révolte, à la colère. Quoi de plus sain finalement que refuser de vivre dans un monde qui a été consciencieusement et irréductiblement perverti par des millers de générations de vieux ados passés à cet ennemi communément appelé "résignation".

    Est-ce ce trouble-fête que désignent les RATM (Rage Against The Machine pour les intimes de la musique qui tâche) dans cette chanson sautillante ?

    Possible.

    Lui. Et tant d'autres...

     

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  • Chacun le sait, le slow planétaire qu'on passerait en priorité à une jeune et jolie alien afin de la convaincre de notre romantisme échevelé de terrien certes frustre mais ô combien attentionné serait "Still Loving You".

    Pourquoi une alien. Pourquoi pas ?

    Still Loving You, donc, des teutonnants "Scorpions".

    Oui, car tout terrien aussi romantique qu'il s'applqiue à paraître est lui aussi équipé d'un dard en parfait état de marche. Mère Nature et sa cousine l'évolution étant un tantinet radoteuses...

    Alors, fatalement, tonton Digit vous poste içi "Lovin' Touchin' Squeezin'" des Journey, leurs homologues perruquiers américains. Même goût prononcé pour les matières près du corps, la mèche empruntée à Linda evans dans Dynastie, et le filet de voix calqué sur tata Yoyo déguisée en geisha roucoulante.

    Alors, effectivement, passé les premières crampes à l'abdomen, dûes à un fou-rire salvateur répondant au stimuli irrésistible que constitue l'amalgame de moustaches gauloise associées au spandex, on sait tout de suite qu'on tient là un des plus beaux slows de l'histoire sapienne.

    Et au final, tout ça nous rend un rien plus tolérant envers le look gay-friendly de Freddy mercury dans sa période folle enragée...

     


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  • Est-ce que "papa poule" avec le sympathique Saddy rebbot (voix française entre autre d'Appolo Creed dans Rocky) est une série Hype ?

    Assurément pas.

    Il s'agit plutôt d'une série phénomène des années 70 qui coincidait avec cette vague d'enfants de divorcés qui voyaient enfin un programme s'intéresser à eux.

    Et moi-même, qui n'avait pas connu mon père, voir un papa poule aussi aimant et impliqué me fascinait littéralement. Et me réconfortait grâce à la douce illusion de cette fiction tirée des romans de Patrick cauvin (le Guillaume Musso des 30 glorieuses) sur la nature humaine.

     

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  • Enfin, j'en ai des tonnes mais celle-ci est parfaitement emblématique de mes très jeunes années où les intermèdes à la télé (ça n'existe plus aujourd'hui) enchantaient nos dîners printaniers.

    La "chose" passait pendant l'heure du repas sur Antenne 2, pour être précis, et était annoncée par une speakrine appliquée.

    Le lendemain matin, dans la cour de récré, j'impressionnais mes petits copains en chantant à la bulgare (pas en choeur mais en yaourt donc) le refrain originellement chanté par le regretté Ronnie James Dio.

    Ben oui, à 6 ans c'était gratifiant de faire croire à ses potos qu'on savait pousser la note en angliche...

    Dio peut être traduit par Dieu en italien. Et définitivement, Ronnie en était un, un véritable dieu de la musique.

    Sa voix chaude, généreuse, puissante et rassurante à la fois résonnera sans doute jusqu'à mes derniers jours dans mes oreilles d'éternel enfant.

     

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