• Enfin pour moi, hein.

    Ceux qui me connaissent savent que je suis à fond dans le trip produits dérivés et que mon pêché mignon consiste à collectionner ou réaliser des poupées les plus réalistes possible. Et cela sur des sujets aussi variés que les comics, le cinéma, les séries télé ou l'histoire.

    Comme je me doute que vous n'avez pas l'occasion de vous rendre en californie tous les quatre matins, je vous propose une petite viste en vidéo du magasin de nos amis Wendy et Jason, collectionneurs fous, eux aussi.

    Et oui, en plus la patronne est super gironde...

    Non, je ne vous ferais pas de blague à base de carte bleue à chauffer pour mieux l'introduire dans une fente quelconque, on est sérieux à Hype, l'air de rien.

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  • Le titre de ce post est également la traduction correcte du film de 1972 de bruce Lee.

    Nan, le petit dragon n'a pas été systématiquement réalisateur mais c'est comme ça (ceci dit c'était le cas pour "La fureur Du dragon" pour lequel il fut aussi scénariste et producteur).

    Depuis toujours on ne dit jamais un film avec bruce Lee mais un film DE Bruce Lee. Comme on dirait un film DE kung-fu.

    Première star issue du tiers-monde, Bruce sera une légende pour la planète entière. Chaque garçon, petit ou grand s'identifiant immédiatement à lui. Et toutes les filles rêvant secrètement qu'un garçon aussi costaud que lui soit à leurs côtés pour les défendre. Si en bonus, le dit garçon peut être aussi beau que Bruce, il sera bien plus kiffant que n'importe quel prince charmant de Disney...

    Ce soir, j'ai revu sur D17 (merci la TNT et les rediffs) pour la première fois depuis mon adolescence, le film qui me révéla enfin la grâce d'un acteur dont on me parlait depuis toujours et qui était mort quelques semaines à peine avant que je naisse moi-même.

    D'ailleurs à l'âge où on commence tout juste à lire et écrire, j'avais réussi à me persuader que j'étais évidemment la réincarnation du fantastique combattant. Ben, pourquoi pas, ça change de Cléopatre ou Napoléon...^L^

    Ce soir, donc, en guise d'hommage, je vous glisse deux vidéos d'une figurine à l'effigie de son rôle mythique de Tang lung.

    La poupée est produite comme il se doit à Hong-Kong par une société répondant au nom d'Enterbay( non, elle ne répond pas vraiment à son nom c'est une façon de parler, hum, je dis ça au cas où on aurait une visite d'un ch'ti, enfin un de ceux du programme télé. J'ose espérer que les "vrais" ne sont pas aussi niais), mesure 45 cm, est bluffante de réalisme et coûte un bras. A vrai dire pas loin de 400 euros.

    Ceci dit, c'est un excellent investissement, car elle en vaudra le double dans un an... A bon entendeur !!!

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  • L'extrait qui suit est tiré d'une émission de D8 où diverses chroniqueuses assoient leur fesses sur des chaises hautes (sans doute pour pêter plus haut que leur cul) et accueillent des invités diversement inspirants.

    Les merdias dans toute leur splendeur.

     

    L'équipe est donc constituée d'une cheftaine débarquée de la chaîne de maçons (comprendre TF1) et entre autre connue pour sa fameuse guéguerre d'égos avec la louve grise Claire Chazal qui fit trembler les murs du 20 heures : Laurence Ferrari.

    Elle est accompagnée de la très médiatique Roselyne Bachelot dont chacun salue les talents de "présentatrice", comme pour faire oublier le scandale dont elle fut l'épicentre voici quelques années lors de la fameuse campagne de vaccination contre la grippe H1-N1.

    N'oublions pas la brillante et délurée Audrey Pulvar qui joue l'alibi gauchiste de l'émission.

    En gros elle endosse le rôle de gentil flic face à la non moins saluée chef d'entreprise à succès (en fait toutes ses entreprises sont massivement endettées) qui, elle, joue admirablement le contre-emploi (c'est à la mode depuis Sarkozy de distribuer des rôles de femmes de droite rétrogrades à des demoiselles issues de l'immigration visible, comme on dit poliment).

    Il est ainsi beaucoup plus compliqué de les qualifier de gros nazillons quand la place n'est plus tenue par un grand bourgeois blond issu d'une famille d'entrepreneurs. Enfin vous savez bien, ces fils de grands patrons qui héritent d'affaires familialles et se gargarisent devant Mireille Dumas de leur force de travail qui les a permis d'en arriver là.

    Leur plus grande force étant tout de même, remettons les choses à leur place, d'avoir surtout fait travailler les autres (fils d'ouvrier, eux).

    Donc, quand un de ces fils d'ouvriers est invité sur le plateau de fruits de mer (désolé pour le jeu de mot mysogine), la tentation est trop belle de vouloir l'enfumer (après tout, même si le gars semble plus intelligent que l'ouvrier moyen, il n'en reste pas moins un bouineur de dernière catégorie).

    Et quand celui-ci tacle en beauté l'ancienne ministre avec une répartie qu'on n'attendait pas de lui, Hapsatou Sy arrive à la rescousse et utilise alors l'arme, qui fut tant usitée par les patrons vieilles France, du compliment sur le physique.

    Vous voyez bien de quoi je veux parler, le fameux "Très belle, très conne" qu'ont eu à supporter toutes les femmes girondes qui avaient le malheur de vouloir se mêler à une conversation à laquelle elles n'étaient habituellement pas conviées.

    Non, sans blague, en ce moment on vit une sacrée époque où un scandale chasse l'autre dans l'indifférence générale.

    Effectivement, personne ne se soucie qu'une ancienne ministre confonde ainsi capitalisme et opportunisme ? Systémisme et loterie ?

    Les fils sont tellement grossiers...

    Vouloir essayer de faire passer l'idée, dans l'esprit des gens, que ce n'est pas le méchant patron qui gagne des millions l'ennemi du travailleur(autrement dit le capitaliste qui refuse le partage des richesses et regarde des populations entières crever pour voir son compte en banque gonfler) mais peut-être bien le collègue ouvrier qui souhaite vivre comme un riche...

    C'est comme reprocher à un petit poisson de s'engraisser dans le sillage des requins en dévorant les miettes !!!

    Ce propos est aussi scandaleux que les mensonges du ministre du budget affirmant les yeux dans le regard de ses concitoyens qu'il le représente dignement.

    Alors qu'il exécute le plus simplement et cyniquement du monde le vieil adage "faîtes ce que je dis mais pas ce que je fais"...

    Mais après tout ça, on raison, retournons à l'usine dès demain matin pour gagner nos misérables sous en baissant le regard devant nos chefs et nos patrons.

    On a bien le monde qu'on mérite.

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  • 2012 - Grimes - Genesis

    Jean-michel le retour.

    Du grand Port'nawak inspiré et shamanique aux accents synthétiques dignes d'un Jean-Michel Jarre sous acide, voilà ce que nous délivre içi Claire Boucher, la canadienne chanteuse, "compositeuse", "réalisateuse" du groupe Grimes.

     

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  • 2009 - Yeasayer - Ambling Alp

    Zardoz is back.

    La bande de Brooklyn officie dans une pop dîte psychédélique dont les ambiances ne sont pas sans évoquer une certaine mondialisation électro de bon aloi.

    Beaucoup d'influences des années 80 clairement digérées cotoient des efforts plus "World" qui font tout le charme du groupe.

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